Diabète

Diabète : les 5 attitudes qui les ont le plus aidés

La semaine de prévention du diabète vient de se terminer. Eviter de développer cette pathologie, c’est bien, mais quand on est concerné, comment vivre mieux avec? Ces patients témoignent de ce qui les a plus aidés.

1. Je suis déterminée

Je pratique le tennis à un haut niveau, alors même que je suis concernée par la maladie depuis l’âge de 3 ans », raconte Elodie. Pour faire face, elle a toujours fait preuve de détermination. « Pas question de renoncer. A condition de prendre quelques précautions,

recommande-t-elle.

2. Je continue à me faire plaisir

Anaïs, jeune femme de 28 ansi a découvert qu’elle était diabétique il y a quatre ans, mais ne souhaite pas pour autant renoncer à se faire plaisir.

Etre diabétique, cela ne veut pas dire être punie,

estime-t-elle. Certes, elle doit faire attention à ne pas manger de sucres, mais s’autorise un très léger écart une fois tous les quinze jours. Et surtout, pour que manger reste un bonheur, elle soigne méticuleusement la présentation de ses plats. En parallèle de la nourriture, elle mise sur d’autres plaisirs, notamment les massages dont elle est friande.

3. Je fais en sorte que mes proches soient impliqués

Etre seul face à la maladie, ça m’angoissait un peu. Pour moi, c’est important que ma femme me rappelle de penser à prendre mon matériel pour un voyage, ou que mes amis acceptent avec patience que je contrôle ma glycémie avant de manger,

explique Pierre, 42 ans.

4. Je fais partie de communautés

Laurent, lui, préfère ne pas compter sur son entourage direct, mais s’est rapproché de communautés virtuelles :

Ca m’aide d’échanger avec d’autres patients. Bien sûr, que ce soit sur certains sites ou forums, il y a de bonnes choses et de moins bonnes, mais je fais le tri. Je me sens moins seul ainsi.

5. Je vois une psy

Quand j’ai appris que j’étais diabétique de type II, il y a deux ans, j’avoue l’avoir assez mal pris. Il faut dire que cette difficulté venait s’ajouter à d’autres », raconte Delphine, qui, sur les conseils d’une amie, a consulté une psy. « Cela m’a aidé, même si le résultat n’est ni immédiat, ni magique,

confesse-t-elle.

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