A l’occasion de la journée mondiale de l’hépatite, Voix des patients vous propose un focus sur les hépatites virales, à savoir l’hépatite B et C. L’objectif : mieux connaître ces maladies, mais surtout mieux les prévenir et mieux les traiter !
Les hépatites virales sont des inflammations du foie (dues aux virus de l’hépatite A, B, C, D et E) qui se contractent facilement. Elles ne s’accompagnent pas systématiquement de symptômes et peuvent entraîner de graves complications (comme une cirrhose ou un cancer du foie).
En France, la contamination par les virus des hépatites B (VHB) et C (VHC) survient essentiellement par voies sanguine et/ou sexuelle. A savoir : l’hépatite B est la maladie sexuellement transmissible la plus répandue au monde (100 fois plus que le VIH).
Fièvre, fatigue et perte d’appétit sont les principaux symptômes. Ils s’accompagnent souvent de nausées, de douleurs abdominales, ou de jaunisse.
Roche Diagnostics France a lancé, en octobre 2016, une campagne d’information et de sensibilisation. Menée en partenariat avec près de 1400 laboratoires de biologie médicale, elle a été déclinée via un dispositif de communication déployé dans dans les salles d’attente des laboratoires d’analyse biologique (par le biais de brochures, d’affiches ou encore de vidéos).
Non, sauf pour la femme enceinte au sixième mois de grossesse, mais aussi pour l’ensemble des donneurs de sang et d’organes, et enfin chez les professionnels de la santé exposés au sang et aux liquides biologiques. Pour ces trois catégories de personnes, la législation prévoit un dépistage de l’hépatite B et C.
L’hépatite C est souvent une maladie silencieuse que l’on ne diagnostique que plusieurs décennies après l’infection, à un moment où le foie est fortement affecté. D’où l’intérêt d’une prise de sang pour les personnes susceptibles d’avoir été en contact avec les virus des hépatites B ou C, afin de savoir si elles sont infectées. En effet, plus l’hépatite est détectée tôt, mieux elle se traite. Or 80% des personnes infectées ne sont pas au courant qu’elles sont porteuses de la maladie.
Il existe des traitements, dont l’objectif est d’éradiquer le virus. Des monitorings réguliers permettent d’évaluer la charge virale, jusqu’à la faire disparaître.
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