De légères détériorations sont apparues chez les souris infectées par des prions et traitées. Une récente découverte publiée dans la revue Science Translational Medecine conduirait à de nouvelles solutions thérapeutiques contre la maladie d’Alzheimer ou celle de Parkinson partageant des mécanismes communs avec les maladies à prions.
D’après l’agence de presse Press Association, la responsable de l’étude pense que ce mécanisme d’action peut être utilisé afin de protéger la perte de cellules du cerveau et donc de développer la recherche des traitements contre les maladies à prions et neurodégénératives.
Des chercheurs français de l’Inserm avait évoqué dernièrement la mise au point d’une enzyme, la kinase PDK1, impliquée dans l’accumulation, dans les neurones, de protéines pathologiques caractéristiques des maladies à prions et de la maladie d’Alzheimer.
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