La semaine dernière, nous célébrions la Journée Européenne de l’obésité. A cette occasion, Marie Citrini, secrétaire générale du Collectif national des associations d’obèses s’est confiée au Plus du Nouvel Observateur. Dans son récit poignant elle explique comment les personnes obèses souffrent de la discrimination dont elles font l’objet.
Passée en quelques années de 72 à 157 kilos, Marie Citrini raconte son difficile combat contre cette maladie. L’échec des régimes et leur côté néfaste, l’isolement en réaction aux regards accusateurs, la stigmatisation qu’elle s’infligeait vis à vis d’elle-même, puis, enfin, la réussite de la chirurgie.
Aujourd’hui, Marie Citrini se consacre pleinement à son action au sein du Collectif national des associations d’obèses. « Nous luttons notamment contre l’utilisation de Photoshop dans la publicité, et mettons en avant un double message, indique-t-elle. La rondeur n’est pas synonyme de laisser-aller, elle peut correspondre à ce qu’une femme a envie d’être. Mais il faut également avoir conscience que le surpoids peut avoir des conséquences graves sur la santé. »
Pour retrouver l’intégralité de son témoignage, rendez-vous sur l’article du Plus en cliquant ici.
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