Depuis son cancer du sein, Célia a traversé l’enfer des rechutes. Aujourd’hui, elle semble guérie, mais comme tous les patients touchés par la maladie, elle a le droit à des “check up” réguliers. Elle nous livre ses astuces pour faire face au stress… Car forcément, l’angoisse est au rendez-vous avant chaque contrôle.
On espère que cette cochonnerie a définitivement disparu. Qu’elle ne va pas à nouveau pointer le bout de son nez”,
résume Célia. A chaque fois, elle dit être partagée entre le “pourvu que” et le “et si”. Pourvu que tout aille bien et que la maladie ne revienne plus jamais. Et si elle se manifestait à nouveau? Dès l’instant où elle sort de chez son oncologue, et jusqu’à la fois d’après, elle est malgré elle envahie par le doute. Pour faire face à ce stress insupportable, elle a envisagé différentes méthodes, qui semblent porter leurs fruits.
“Beaucoup de personnes pensent que cette approche n’est réservée qu’à des gens qui travaillent beaucoup et sont surmenés. Je peux vous assurer que lorsqu’on est face au vide et en proie aux doutes, elle est encore plus pertinente”.
Respiration profonde, yoga, méditation… elle essaie tout ce qui peut lui permettre de chasser les idées noires, en focalisant son attention sur autre chose.
Les activités artistiques sont aussi d’une grande aide, notamment la peinture et la sculpture. Pendant des heures, je me focalise sur la bonne couleur, ou la forme la plus adaptée. Je les retravaille au point d’être quasiment obsédée par mon objet.
La mise à distance du stress passe aussi chez elle par le théâtre. Depuis deux ans, elle s’est inscrite dans un atelier d’improvisation.
“C’est très sain de jouer des rôles qui ne sont pas moi. De me mettre dans la peau de quelqu’un d’autre. Et puis contrairement à des cours classiques où il faut apprendre des textes, là, compte tenu que c’est de l’impro, c’est moins contraignant “,
précise la jeune femme. Ce qui l’aide vraiment aussi, c’est d’interpréter des situations pleines d’humour. “Car l’humour et l’amour sont les choses dont on a le plus besoin. De manière générale bien sûr, mais encore plus quand on vit ce genre de situations”, conclut-elle.
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