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« The Plant Bag », le sac anti-pollution

This handout picture taken and released by Marnix de Kroon on January 18, 2016 in Delft shows a woman wearing "The Plant Bag", a backpack fitted with a breathing mask connected to the pack which contains a plant. Five Dutch students have hit on a unique idea to replace face masks used against air pollution, and are developing a "plant backpack" to give wearers instant fresh air. "The Plant Bag" is fitted with a filter which takes in the outside air and sifts it through the roots of a plant housed inside the backpack before allowing the wearer to breathe it in. / AFP / Marnix de Kroon / Handout / RESTRICTED TO EDITORIAL USE - MANDATORY CREDIT "AFP PHOTO / MARNIX DE KROON" - NO MARKETING NO ADVERTISING CAMPAIGNS - DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS

Dans un contexte où les particules fines sont responsables chaque année de plusieurs milliers de malades chroniques, des étudiants hollandais avoir trouvé une parade.

Ils sont en effet en train de mettre au point un sac à dos muni d’un système de plantes qui permettra à son porteur de respirer un air plus pur dans les villes polluées.

7 millions de morts chaque année

Responsable de 7 millions de morts chaque année et de millions de maladies, la pollution atmosphérique a pris une telle ampleur qu’on parle d’ « airpocalypse ». C’est dans ce contexte écologique alarmant qu’un groupe d’étudiants de l’université de technologie de la ville de Delft, aux Pays-Bas, a conçu un sac à dos relié à un masque pour filtrer l’air qu’on respire.

Des plantes au secours de l’air

Encore au stade de développement, l’idée du Plant Bag est de purifier l’air qu’on respire. Le concept est le suivant : un système de filtre antipollution aspire l’air et l’assainit grâce aux racines d’une plante (l’aloe vera), avant de le renvoyer par un tuyau dans la bouche du porteur.
Marnix de Kroon, chef de projet, explique :

ce sac permet de filtrer les particules fines et de nettoyer l’air ».

En effet, il existe déjà des masques anti-pollution, mais ceux-ci ne permettent pas de filtrer les particules fines, véritable fléau pour la santé.

Selon l’OMS, près de 70% de la population urbaine dans le monde serait exposée à des niveaux de pollutions supérieurs aux limites sanitaires recommandées. Donc, malgré quelques détracteurs sceptiques, on peut saluer l’initiative de ces étudiants qui pourrait sauver des vies dans un futur proche.
Si les bienfaits du Plant Bag n’ont pas encore été prouvés, le concept, lui, a remporté le premier prix d’un concours de design hollandais.

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