La prise de conscience de l’impact de l’environnement sur notre santé semble parvenue jusqu’au sommet de l’Etat. Entre autres annonces faites lors de la conférence environnementale à Paris les 27 et 28 novembre derniers, François Hollande a affiché une grande ambition : « le XXe siècle a été l’ère de l’hygiène bactériologique. Le XXIe siècle doit être celui de l’hygiène chimique. »
Cette déclaration d’intention a été accueillie comme valant reconnaissance du lien entre l’exposome, soit l’ensemble des expositions d’un individu à des substances chimiques au cours de sa vie, et le développement de maladies chroniques. Elle semble également confirmer l’engagement de l’Etat à protéger la santé de ses citoyens à travers la définition et la mise en œuvre d’un plan national de santé environnementale.
Toutefois, avant que des lois ne régulent effectivement notre exposition aux polluants, des pesticides aux nanoparticules en passant par les perturbateurs endocriniens, la France va devoir se doter des outils de veille et d’évaluation qui lui font défaut, notamment depuis la dissolution de l’Institut français de l’environnement en 2008.
Photo : © Romolo Tavani
À 46 ans, Julie a découvert qu’elle avait un helicobacter pylori. Elle raconte comment elle…
Patricia s’occupe beaucoup de ses parents, atteints respectivement d’Alzheimer et de Parkinson. Elle-même souffre de…
Combiner rééducation fonctionnelle, soutien psychologique et accompagnement vers une réinsertion optimisée : c'est l'ambition que les…
Cette pathologie ne concerne que les filles. Il s’agit d’une maladie génétique rare caractérisée par…
Gynécologue à Nîmes, le Pr Marès rappelle que tous les sports sont accessibles aux femmes.…
À l’âge de 12 ans, Ivan découvre qu’il souffre d’un cancer de la glande pinéale.…